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Fidélité

Et si le problème, c'était la rétention ?

Pendant longtemps, les marques ont confondu fidélité et rétention. Elles ont multiplié les programmes à points, espérant retenir leurs clients avec des récompenses standardisées. Résultat : des parcours figés et une fidélité dégradée en simple réflexe promotionnel.

Last update:

August 22, 2025

5

minutes read

Written by:

Florian Auffret

Et si le problème, c'était la rétention ?
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Ce texte est issu de notre communiqué de presse diffusé en août 2025. Il pose les bases de la vision marché que nous portons chez Loyoly : une rupture assumée avec la fidélisation classique, et un appel à transformer la relation post-achat.

Pendant trop longtemps, les marques ont confondu fidélité et rétention.

Elles ont multiplié les programmes de fidélité à points, espérant retenir leurs clients à coup de récompenses standardisées.

Résultat : des parcours figés, des relations creuses, et une fidélité dégradée en simple réflexe promotionnel.

Une nouvelle vision émerge aujourd’hui : la fidélité ne se résume pas à retenir, mais à engager.

Offrir à chaque client une relation et un chemin qui fait sens pour lui, et donc de la valeur pour la marque.

De la rétention à l'engagement.

Pendant des années, les marques ont confondu fidélité et rétention.

Elles s’acharnent à retenir leurs clients à coups de points, de réductions, et de programmes de fidélité clonés.

Problème : ces approches n’engagent plus. Elles fatiguent les consommateurs, banalisent les relations, et réduisent la fidélité à une simple répétition d’achats.

Aujourd’hui, un basculement s’opère : on ne construit pas une relation en retenant quelqu’un.

On la construit en lui donnant envie de rester, en reconnaissant que chaque client a son propre rapport à la marque, ses propres motivations, son propre rythme.

Le post-achat ne peut plus être un tunnel.

On laisse tomber les tunnels figés. Les mécaniques à sens unique. Les “récompenses” qui n’en sont pas vraiment.

À la place, on change la donne : on pense le post-achat comme un véritable terrain de jeu relationnel.

Les marques ne se contentent plus de dire “Merci pour votre achat”. Elles créent des parcours sur-mesure, activent des défis, encouragent les partages, valorisent les contributions, créent du lien.

Et ce lien devient moteur de réengagement (et in fine de réachat).

Le post-achat devient un terrain de jeu vivant, structuré mais ouvert, dans lequel chaque client peut progresser à son rythme, selon son propre niveau d’engagement.

1 000 parcours pour 1 000 clients.

Fini les parcours standards envoyés en masse.

Les marques qui performent savent qu’un client qui découvre la marque n’a pas les mêmes attentes qu’un client ambassadeur.

Elles s’organisent pour offrir 1 000 parcours pour 1 000 clients. Des expériences personnalisées, des mécaniques d’engagement activables, des récompenses qui ont du sens… pas des répliques génériques.

Elles identifient les signaux faibles, adaptent les mécaniques, mesurent l’évolution du lien… et construisent une fidélité durable, parce qu’elle est choisie, pas subie.

Parce que ces marques ont compris une chose essentielle : on ne peut pas forcer la fidélité. On peut seulement créer les conditions pour qu’elle émerge.

Une culture à adopter. Pas une feature à ajouter.

Cette capacité à orchestrer des expériences personnalisées ne relève pas d’un simple choix technologique. Elle traduit un changement de culture profond.

Les marques ne se demandent plus : “Qu’est-ce qu’on peut donner pour retenir ?” mais “Comment faire en sorte que le client ait envie de rester ?”.

Elles passent d’une logique de rétention défensive à une dynamique d’engagement choisie. Cette transition est exigeante : elle pousse à revoir les KPIs, à sortir des automatisations aveugles, à penser la fidélité comme une trajectoire relationnelle. Mais elle est déjà en marche.

Des marques comme Venum, Beauté Privée, Emily's Pillow, We Are Jolies ou La Belle Boucle l’expérimentent au quotidien avec Loyoly.

Et concrètement, ça change tout.

Pssst... Ça pourrait vous intéresser !

Les programmes d'engagement post-achat sont stratégiques pour votre marque, et nous pouvons probablement vous aider. Jetez un oeil à notre plateforme !

Un client très actif sur les réseaux avec une communauté engagée ne recevra pas les mêmes sollicitations qu’un client plus discret. Le premier pourra activer des missions de création de contenu quand le second, plus réservé dans son engagement, pourra simplement être sollicité pour déposer un avis ou répondre à un sondage ciblé. 

Un client basé à Bordeaux pourra être invité à évaluer son expérience en boutique locale, tandis qu’un client lyonnais contribuera à faire rayonner la marque dans sa propre zone de vie.

Et un client identifié comme early adopter sera impliqué dans des tests produits, des boucles de feedback, voire des étapes de co-construction. 

Même plateforme, même logique d’engagement.

Mais des activations différentes. Parce que les clients le sont aussi.

Loyoly permet à chaque marque d’activer cette finesse relationnelle à grande échelle.

Parce qu’au fond, l’engagement ne se décrète pas. Il se construit.

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